CONSTRUCTION D’UNE "PACIFIC ETAT":

LA 231 G 521

La G 521 réelle

Février 2023. Les revues de modélisme ferroviaire publient leur banc d’essai des Pacific ETAT Modelbex, apparues depuis peu sur le marché.
Malgré ma petite retraite de laquelle il faut retirer chaque mois ma part du remboursement de notre emprunt immobilier, en me privant encore plus de sorties à des spectacles, restaurants, déplacements lointains, je pourrais casser ma tirelire et craquer neuf cent boules pour m’offrir ce modèle ; pour une fois, et on n’a qu’une vie, allez je pourrais bien faire ce choix…
Et pourquoi le ferais-je ? Parce que j’ai connu vivantes ces locomotives réelles étant enfant, et le souvenir de l’instant où j’ai été pour la première fois en présence de l’une d’elles me hante encore l’esprit. J’ai besoin de rêver, de me rejouer la scène en modélisme, vous comprenez çà ?
Ben non, je vais pas me l’acheter, parce que je sais très bien ce qu’il se passerait, peu après l’avoir admiré, cajolé, mis en tête de voitures ocemebacalan sur la Sainte-Piste : je me retrouverais comme un gros bêta, avec rien pour occuper ma boîte noire et mes pognes, et sans le pognon dont on aura besoin l’été prochain dans une location pour nos vacances au bord de la mer, seule sortie familiale de l’année.
Bon, j’arrête de vous la jouer à la Zola, je n’ai pas trop à me plaindre, j’ai un immense privilège : grâce à vous j’ai pu vivre de ma passion depuis 22 ans. C’est la plus belle période de ma vie et malgré que je vais passer cette année « dans les 7 » j’espère bien qu’elle va durer encore un bon bout de temps.

Une « Gé »  file sur Paris-Rouen-Le Havre à cette même époque

Eté 1960. J’ai 7 ans et suis à Paris passage Dubaï chez mon oncle et ma tante pour la première fois. Ils me chouchoutent comme si j’étais leur fils. Zoo de Vincennes, jardin d’acclimatation et son petit train, tour Eiffel, Aéroport d’Orly sur la terrasse, tout l’toutim’ quoi. Un jour ma tante m’emmène à Versailles, nous voici sous la verrière de la gare St Lazare et c’est le choc. Une machine est devant moi, au heurtoir devant le train qu’elle vient d’acheminer depuis Le Havre. Une machine complètement différente des R massives et dégueus que j’ai l’habitude de voir à Dole tous les jours. A première vue semblant plus petite, mais en fait mieux proportionnée dans ses formes, son tablier relevé au niveau de ses cylindres et sa réhausse de trémie du tender remontant aussi haut que l’abri de la loc’ lui donnant un air de puissance, impression partagée avec les 241 P. Une machine propre, mais PROPRE ! Jamais vu ça même au ciné, en tous cas pas au Sud-Est. Le vert me semble bien sombre dans la lumière atténuée par l’immense verrière noircie par les fumées, mais c’est bien vert oui, et ces filets jaunes qui soulignent les bords de ses écrans, de son abri, des côtés du tender, et que dire des bandes de laiton qui encerclent sa tonne, « astiquées au mirror » comme les casseroles en cuivre de ma grand’mère ? Une machine, comme je n’oublierai jamais. Et j’en vois d’autres, et encore d’autres à l’autre extrémité des quais lorsque nous partons pour Versailles dans une rame de banlieue. Elles n’ont pas toutes les filets rouges ou jaunes de décoration, mais sont toutes très propres, je crois qu’elles avaient toutes les cercles de chaudière brillants.
Je retrouverai ces belles locomotives, toujours étincelantes, aux mois d’août 1964 puis 1965, en allant en colonie de vacances à Etretat, bien entendu en train. Dole à Paris-gare de Lyon dans les voitures ocem 2D2 9100 en tête, acheminement en autobus gare St Lazare, et là on montait de nouveau dans de semblables voitures du même vert foncé que nous connaissons bien. Et en tête de ce train : OUI, une Pacific bien sûr, le bonheur ! J’ai déjà évoqué ça dans « Eric Seibel, qui c’est celui-là ? »

Alors mon modèle qui va me faire revivre ces moments-là, vous l’avez compris, je vais me le faire, j’ai déjà commencé. Et vous avez aussi pigé que je vais le garder pour moi. Ce qui n’empêche pas que je vous raconte cette construction.
Oh ! Il ne sera pas aussi « beau », « sapin de Noël » que celui de « Fulgutab-Métropex-bex », parce que les filets rouges ou jaunes c’est pas trop mon truc. Il aura bien sûr des simplifications dans certains détails, peut-être des imperfections, mais boudiou il sera sorti de mes pognes et je vous garantis que je le cajolerai, et il me procurera autant de joie, j’en suis sûr.
                                                      Eric Seibel – février 2023

Les deux côtés d’une 231 de la sous-série G, les plus améliorées des Pacific ÉTAT.

Merci à Jean Buchmann, à Olivier Taniou, mon complice de l’Ouest qui m’a prêté sa "bible de Lepage", et à Guy Rey du Pacific Vapeur Club de Sotteville pour mener à bien cette construction.. 

 

LES ÉTAPES DE CONSTRUCTION

Sciage de la réhausse en résine d’origine (caisse de tender 22 B de mon ancien kit de Mikado ETAT), et remplacement par une réhausse « maxi cube » en tôle de laiton.
 
Confection de l’abri en tôle de laiton. L’utilisation de cadres de fenêtres de Mikado ETAT ayant modifié l’aspect de ces parties des côtés de l’abri, j’ai tenté de ré-équilibrer la forme au mastic, me disant qu’une fois peint ça passera… On verra plus tard.
 
Passage d’une première couche d’apprêt pour visualiser la possibilité de rattrapage de la forme par ponçage de couches successives.
 
Début des travaux de fabrication du tablier, en tôle de laiton de 0.30 J’ai choisi de faire la tôle arrondie en platelage anti-dérapant « à larmes », pour souligner l’époque finale où ce genre d’améliorations étaient apportées. Soudure du premier élément de couvres-roues (M.T. Réf. po 14). Les autres ne le seront que lorsque j’aurai reçu les essieux accouplés de Pacific Nord Roco et leurs bielles d’accouplement, commandés à webshop@roco.cc, car leur emplacement doit être adapté très précisément « sur mesures » avec ces éléments en mains.
 
Début de la confection du corps cylindrique. Tube en plastique trouvé dans mon fourbi, d’un diamètre de 20.60 mm, ce qui correspond au diamètre réel de 1. 79 m. Selon la masse choisie, une pige en acier d’origine Jouef plus ou moins longue sera collée à l’intérieur, centrée au-dessus de l’essieu accouplé central.
Perçage des trous pour la cheminée, les dômes, les soupapes et le sifflet.
La boîte à feu est faite de 3 coupons de tôle de laiton, soudés entre eux puis collés à la cyano au tube. Le volume est ensuite comblé au Sintofer puis réduit à la lime.
 
Une vis M2 dont la tête est soudée à l’intérieur n’a pas été oubliée pour l’assemblage avec l’abri.
 
Préparation de la fixation à l’avant, pour l’assemblage corps cylindrique/tablier/châssis. Une tige filetée M2 de la bonne longueur sera plus tard utilisée.
 
Préparation de la fixation à l’arrière. Un écrou M2 est soudé au-dessus du plancher de l’abri.
 
L’abri et le corps cylindrique provisoirement assemblés au tablier. On voit les écrous et les vis dans l’abri
 
Eléments M.T. sélectionnés, posés provisoirement, sans collage : Cheminée Réf. chem 03, dôme vapeur Réf. po 02, dômes de sablières restants de mon ancien kit de Mikado ETAT, soupapes Réf. soup 07, porte de b.f. Réf. pbf 16 avec fermeture Réf. ferm 03, arbre et leviers de marche Réf. div 65, réservoirs principaux Réf. C 08
 
Confection d’un « caisson » représentant le bloc-cylindres b.p. intérieurs, ce que l’on voit de leur distribution à l’extérieur, et faisant office de berceau de boîte à fumée. Chutes de photodéc’ ép. 0.30 -  tube laiton Diam. 4 – bouchons avec rivets M.T. Réf. div 70 – petits leviers Réf. eta 18 – marchepieds = bouts d’échelles tirés d’une plaque Réf. div 28.
 
Le tablier est découpé (disque à tronçonner) pour laisser le passage (par en-dessous) au berceau de b.f.
 
Préparation des écrans lève-fumée.
 
Confection d’un autre « caisson », représentant la partie avant du châssis.
Chutes de photodéc’ ép. 0.30 Le barreau de laiton destiné à la partie massive du châssis est façonné en forme de tenon à l’avant pour s’emboîter dans le caisson. Fixation par vis M2, trou taraudé dans le tenon.
 
Des découpes au-dessus sont pratiquées pour l’emboîtement des blocs-cylindres b.p. et h.p. Les formes arrondies dessous sont adaptées au passage des roues du bogie qui sera utilisé.
 
Mise en place provisoire des éléments avec le tablier.
 
Sur le corps cylindrique, collage définitif de la cheminée, des dômes et soupapes. Pose des différents bouchons autoclaves puis des cercles de chaudière Réf. div 92 c) et des chapelles Réf. C 16.
 
Perçage au diamètre 2 mm pour les tubes-guides des tiges de pistons.
 
Montage sur un morceau de bois percé d’un trou de 2 mm, pour soudure d’un tube-guide avec à son extrémité arrière les glissières de crosse, la pièce crosse/tige de piston étant prise entre les glissières. C’est l’assurance d’un coulissement sans point dur.
 
Le tube-guide est extrait du trou délicatement à l’aide d’une lame de couteau.
 
Emboîtement des tubes-guides dans leur cylindre.
 
Coupe de la partie de la tige de piston qui dépasse à l’avant lorsque la crosse est au point mort avant.
 
Les ensembles  tube-guide/glissière/crosse préparés.
 
Façonnage des côtés du bloc-cylindres, puis pose d’éléments de détail en regard des photos de loc’ réelle.
 
Les ensembles tube-guide/glissière/crosse reçoivent à présent leur bielle motrice (M.T. Réf. TA 05 amincie à la lime).
 
Le rivet utilisé pour l’articulation bielle/crosse est une Réf. M.T. riv 03 .
 
Après pose de contre-tiges de pistons, les ensembles tube/glissière/crosse/ bielle motrice sont prêts, sauf ajustement du diamètre du trou de la grosse tête de bielle, le moment venu lorsque les essieux accouplés seront livrés. Les tubes-guides ne sont donc pas collés maintenant dans le bloc-cylindres.
 
Les essieux et les bielles d’accouplement sont livrés, le traçage pour le positionnement précis des deux autres couvres-roues peut donc être fait.
 
Découpes longitudinales avec un disque à tronçonner.
 
Découpes en largeur par grignotage avec une très petite fraise sphérique.
 
Soudage des couvres-roues.
 
Pose par soudage et/ou collage d’éléments sur le tablier. De l’avant vers l’arrière : écrans, graisseur mécanique (M.T. Réf. pomp 18), deux berceaux de chaudière (Réf. mik 11), arbre et leviers de marche (Réf. div 65), turbo-dynamo (AMF 87 Réf. A 408), pompe ACFI (M.T. Réf. pomp 03), réservoirs d’air (Réf. C 08).
 
Après avoir percé les trous pour les futures tuyauteries s’y raccordant, collage d’un ensemble de réservoirs-mélangeurs ACFI (trouvé dans mon fourbi, mais on peut très bien utiliser la Réf. M.T. div 64, à adapter comme j’ai fait sur la 231 J 523).
 
A cet endroit du côté droit, pose du compresseur bi-compound (Réf. pomp 01), par collage de son tenon dans un trou percé dans la chaudière.
 

Vérification du bon positionnement des éléments par assemblage provisoire corps cylindrique/tablier.
A présent je ne peux poursuivre la construction, car le moment est venu de m’attaquer à l’usinage du châssis de la loc’ et du tender-moteur, mais ma fraiseuse est en panne …

 
La partie massive du châssis est usinée à la fraiseuse.
 
Le support des palpeurs de courant arrière figurera en même temps un support de tablier.
 
Confection du support de coulisses à partir d’une pièce M.T. Réf. eta 05. Coulisses M.T. Réf. mik 13.
 
Fixation du support de coulisses sur le châssis.
 
Collage des fils palpeurs avant, à travers le bloc-cylindres. Noter qu’à l’avant  j’ai supprimé les contre-tiges de piston préalablement posées, m’étant rendu compte par la suite que sur les loc’s réelles elles n’y étaient plus dans les années 60.
 
Usinage et préparation du châssis/bloc moteur/transmission du tender. J’ai décidé cette fois d’utiliser un moteur Roco retrouvé dans un tiroir.
 
Les gros conduits entre boîte à fumée et cylindres sont taillés dans des morceaux de laiton, emboîtés et collés dans des découpes sur le tube, puis poncés.
 
Pose des mains courantes et tringleries de commande sur le côté gauche du corps cylindrique, + sifflet (M.T. Réf. sif 01).
 
Pose des mains courantes et tringleries de commande sur le côté droit du corps cylindrique, + vanne de souffleur (M.T. Réf. vol 07). L’ensemble corps cylindrique/abri est maintenant  prêt pour la peinture
 
Peinture du bogie en noir mat. Un boîtier NEM pour pouvoir mettre un attelage fonctionnel est posé, afin de pouvoir remorquer la loc’ pour la mise au point des embiellages.
 
Je trouve que le châssis ne descend pas assez bas au-dessus du bogie, ce qui est en réalité un détail qui caractérise les Pacific ETAT. Je confectionne un « habillage » du châssis avec des chutes de photodéc’ pour ajuster au plus près la jonction châssis/bogie.
 
Suite de la préparation des ensembles glissières/crosse/bielle motrice : agrandissement du trou de la grosse tête de bielle au diamètre du nouveau tourillon isolant des roues accouplées motrices, et soudure d’un nouveau cavalier reliant les glissières à l’arrière, décalé vers l’extérieur afin de permettre un jeu latéral plus ample aux bielles motrices.
 
Pour essais, pose provisoire des ensembles, sans coller les tubes-guides dans les cylindres car il faudra auparavant faire les embiellages de distribution et leur articulation sur la crosse de piston.
M’étant trompé dans mes cotes, j’ai dû descendre le bloc-cylindres dont l’axe était trop haut par rapport à celui des essieux accouplés.
 
Pose de la ligne électrique reliant les palpeurs de courant sur les roues accouplées extrêmes.
 
Préparation des ensembles manivelle/bielle/coulisse, avec des accessoires M.T. : paire de manivelles = Réf. man 01, paire de coulisse = Réf. mik 13, et bielles de commande de coulisse (entr’axe = 10) tirée d’une plaque d’embiellage d’un ancien kit M.T. Articulations réalisées avec des rivets Réf. riv 01.
 
Pose provisoire pour mise au point, toujours sans coller le tube-guide dans le cylindre, car il reste à réaliser le reste de l’équipage de bielles de distribution, qui sera relié à ces premières parties par des rivets.

A CE PROPOS, je récompense votre curiosité à suivre mes travaux par une ANNONCE DE NOUVEL ACCESSOIRE, en priorité pour vous :
Une plaque de différentes petites bielles de distribution, qui va être très bientôt disponible (suivez bien les messages de la rubrique « Quoi de neuf ? Ces derniers jours. Cliquer sur le lien). Plusieurs paires avec des entr’axes différents parmi les plus courants. 

 
Sur le tablier côté gauche, confection et pose des barres et leviers de marches séparées. Profilé laiton de section 1 X 0.5
 
Support des barres contre l’abri.
 
L’extrémité arrière des barres est passée dans un trou percé dans le support.
 
Le petit support contre la chaudière.
 
Le petit support est fixé dans la chaudière par son tenon.
 
L’ensemble – ici vu de dessus – est solidarisé au tablier par collage. Le corps cylindrique/abri reste lui démontable.
 
Première utilisation de bielles de distribution tirées de la nouvelle plaque de bielles M.T. Réf. div 109.
 
Pose de l’embiellage droit maintenant complet, pour mise au point. Il est ensuite démonté pour passer à la peinture noir mat. Une fois remonté définitivement, le tube-guide est fixé dans le cylindre par une goutte de colle.
 
Récupération d’une devanture sur un modèle au rebut.
 
Le châssis du tender est appareillé avec la caisse de la même façon que pour le modèle de Pacific 231 J 523 (voir cette page). Avant d’être posés, les faux longerons reçoivent des couvercles de boîtes d’essieux Athermos provenant d’un sachet de détaillage de tender 34 P Jouef.
 
Pose par collage à la cyano des différentes poignées, mains-montoirs et manivelle de frein (M.T. Réf. div 78) sur la caisse.
 
Peinture de la caisse : vert 306 sur les côtés et l’arrière, tout le reste noir mat.
Les anneaux de levage (M.T. Réf. 22 B 02) sont bien visibles sur le dessus à l’arrière.
 
Pose de décalcomanies et de charbon écrasé.
 
Assemblage définitif châssis/caisse. Préparation d’un timon et de raccords-tulipe pour la liaison tender/loco.
 

VUES DU MODÈLE TERMINÉ

 

VUES DU MODÈLE SUR SAINTE PISTE

 

LISTE DES COMPOSANTS UTILISÉS POUR
LE MODÈLE 231 G 521

 Amf 87

  • Peinture vert 306 RailColor
  • Turbo-dynamo Réf. A 408

Interfer

  • Jeu de plaques de numérotation 231 G 521 – 22 C 362

Sav Roco

  • 3 essieux accouplés de Pacific Nord (Réf. 62300) : 2 X Réf. 127284 et 1 X 127285
  • Bielles d’accouplement Réf. 127280

Mécanic Trains

  • Sifflet Réf. sif 01
  • Soupapes Réf. soup 07
  • Chapelles Réf. C 16
  • Cheminée Réf. chem 03
  • Dôme de vapeur Réf. po 02
  • Vanne de souffleur Réf. vol 07
  • Porte de boîte à fumée Réf. pbf 16
  • Fermeture en « Y » Réf. ferm 03
  • Cercles de chaudière Réf. dic 92 c)
  • Cadres de fenêtres Réf. encf 06 et encf 09
  • Plaque de disques cerclés de rivets Réf. div 70
  • Sections d’échelles d’une plaque Réf. div 28
  • Rivets Réf. riv 01
  • Volant Réf. vol 05
  • Injecteur Réf. inj 04
  • Pompe à air Réf. pomp 01
  • Pompe ACFI Réf. pomp 03
  • Réservoirs-mélangeurs ACFI Réf. div 64
  • Tampons Réf. T 03
  • Bielles motrices Réf. TA 05
  • Crosses de piston Réf. po 09
  • Glissières de crosse doubles Réf. eta 09
  • Paire de coulisses Réf. mik 13
  • Support de coulisses Réf. eta 05
  • Plaque de bielles de distribution Réf. div 109
  • Paire de manivelles Réf. man 01
  • Supports de mains courantes moyens Réf. div 97 et courts Réf. div 96
  • 3 X paires de couvres-roues Réf. po 14
  • 2 X berceaux de chaudière Réf. mik 11
  • Leviers de marche Réf. div 65
  • Marchepieds Réf. march 05
  • Sabots de freins Réf. C 11
  • Prise indicateur-enregistreur Réf. C 12
  • Phares Réf. fan 04
  • Supports de lanternes Réf. div 69
  • Anneaux de levage Réf. 22 B 02
  • Manivelle de frein Réf. div 78
  • Grille pare-caténaire Réf. gril 01
  • Paire de réservoirs Réf. C 08
  • Attelage factice Réf. att 01
  • ½ accouplements frein Réf. att 02
L’Octant
  • Diverses tôle et profilés laiton, maillechort en barres droites, visserie, fil de bronze phosphoreux

Jouef 

  • bloc-cylindres d’un ancien modèle de 241 P
  • 8 couvercles de boîtes d’essieux de tender 34 P